Zoey Deutch incarne Jean Seberg dans Nouvelle Vague de Richard Linklater, un hommage à la Nouvelle Vague française et au tournage d’À bout de souffle, en salles le 31 octobre puis sur Netflix le 14 novembre.
Zoey Deutch fait revivre Jean Seberg dans Nouvelle Vague de Richard Linklater
Netflix dévoile la bande-annonce
Dans la bande-annonce de Nouvelle Vague, Richard Linklater rend hommage au cinéma français des années 1960 en revisitant le tournage d’À bout de souffle de Jean-Luc Godard. Au cœur de ce récit, l’actrice américaine Zoey Deutch se glisse dans la peau de Jean Seberg, figure mythique de la Nouvelle Vague.
Présenté en avant-première au Festival de Cannes, le film sortira d’abord en salles aux États-Unis le 31 octobre, avant son arrivée mondiale sur Netflix le 14 novembre. Tourné entièrement à Paris avec une équipe française, Nouvelle Vague offre une reconstitution soignée de l’effervescence artistique de l’époque. Guillaume Marbeck incarne Jean-Luc Godard, tandis qu’Aubry Dullin prête ses traits à Jean-Paul Belmondo.
La bande-annonce révèle une Zoey Deutch intense, oscillant entre admiration et désarroi face aux méthodes de Godard. « Je n’ai jamais dit que je ferais ce film », lance-t-elle, avant de menacer : « Je pourrais bien vous quitter, vous et votre tournage. » Ces répliques traduisent la tension créative et l’incertitude qui entourèrent la naissance d’À bout de souffle, œuvre fondatrice du cinéma moderne.
Écrit par Holly Gent, Vincent Palmo Jr., Michèle Halberstadt et Laetitia Masson, le scénario est produit par Laurent et Michèle Pétin. Richard Linklater, qui s’était récemment illustré avec Blue Moon et Hit Man, explore ici la passion, l’audace et les conflits qui forgèrent une révolution cinématographique.
Pour Zoey Deutch, remarquée dans Set It Up, Zombieland: Double Tap ou encore The Politician, ce rôle marque une étape importante : elle y incarne non seulement une actrice emblématique, mais aussi une icône culturelle dont l’influence dépasse largement l’écran.
Avec Nouvelle Vague, Linklater invite à replonger dans l’atmosphère électrique des années 1960, entre liberté artistique et bouleversement des codes. Un hommage vibrant au cinéma français, mais aussi un regard neuf sur ce qu’il a légué à l’histoire du septième art.
